La pratique d’une activité physique régulière protège les femmes contre la maladie de Parkinson selon une étude française menée par des chercheurs de l’Inserm, des universités de Paris-Saclay et de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.
100.000 femmes suivies
Les chercheurs français ont voulu savoir l’impact de l’activité physique sur le développement de la maladie de Parkinson. Ils se sont appuyés sur les données de la cohorte de l’étude épidémiologique auprès de femmes de la Mutuelle générale de l’Éducation nationale. Cette cohorte regroupe près de 100.000 femmes, suivies pendant 29 ans. Les