« Celui qui n’aime est malheureux, Et malheureux est l’amoureux », écrivait Ronsard. Et si le coup de foudre n’avait rien de mystérieux et qu’il était simplement associé à une réaction du cerveau ? S’il peut nous faire flotter sur un petit nuage, il peut aussi nous conforter dans une idéalisation de la relation et de nos sentiments à l’égard de l’objet de notre désir. Mais, des astuces existent pour ne pas céder au chant des sirènes de la confusion.
Bénéfique à la reproduction
Lors des interactions amoureuses, la communication entre le cortex préfrontal et le noyau accumbens s’intensifient,